mardi 31 décembre 2013

Voilà, c'est fini....


2013 s'achève, c'est le moment du bilan, et pour changer, c'est le positif que je veux retenir de cette année, comme par exemple:
Janvier sous la neige, avec les bonhommes de neige dans le jardin
Février et l'éclosion des premières fleurs du jardin
Mars avec mes 35 ans (c'est positif, j'adore les anniversaires, même les miens), une semaine au ski tous les 4, ma remise au sport, et ma médaille des 10 ans ;-), et la recherche des oeufs de Pâques dans le jardin
Avril, l'arrivée du printemps et des balades en forêt
Mai au soleil de la méditerranée
Juin, première liste de fournitures, spectacles de fin d'année, les vacances approchent
Juillet, nos 10 ans de mariage, et le mariage de mon petit frère
Août, vacances en famille, 3 semaines de bon air
Septembre, la rentrée au CP, mes débuts en couture
Octobre, mes Souriceaux ont 6 ans (déjà), et mon blog 2 ans, achat de ma MAC
Novembre, un peu de temps pour ma couture,
Décembre, les lettres au Père Noël, le sapin et la crèche, pour finir par Noël en famille et un réveillon tous les 4!

Avec tout ça, on est fin prêts pour 2014!!!!!!

vendredi 27 décembre 2013

Western version livre


J'ai toujours adoré les westerns, en particulier les westerns spaghetti de Sergio Leone (meuh non, ça n'avait rien à voir avec Clint Eastwood....), mais aussi les "vrais" westerns avec John Wayne. Au point qu'en prépa je faisais partie d'un groupe cinéma (on avait des genre de temps culture gé) qui épluchait les westerns pour en analyser la composition, les références.... Et dès que j'ai pu (en gros une fois qu'il était sorti en DVD, parce que le ciné c'est devenu une sortie exceptionnelle à la Souricière, à part pour aller voir les derniers Disney), je me suis jetée sur le dernier wester de Tarantino, Django Unchained, qui m'a beaucoup plu (en plus d'aimer les westerns, j'aime les films de Tarantino, le cumul ne pouvait que me tenter ;-))

Enfin revenons à nos moutons: étant donné ma passion pour les westerns, j'ai évidemment été attirée par le quatrième de couverture de ce roman "Faillir être flingué", de Céline Minard:
Western des origines, véritable épopée fondatrice, tantôt lyrique, dramatique ou burlesque, Faillir être flingué est d’abord une vibrante célébration des frontières mouvantes de l’imaginaire.
Un souffle parcourt l’espace inhospitalier des prairies vierges du Far-West, aux abords d’une ville naissante vers laquelle toutes les pistes convergent. C’est celui d’Eau-qui-court-sur-la plaine, une jeune Indienne dont tout le clan a été décimé, et qui, depuis, déploie ses talents de guérisseuse aussi bien au bénéfice des Blancs que des Indiens.
Elle rencontrera les frères Brad et Jeff traversant les grands espaces avec leur vieille mère mourante dans un chariot brinquebalant tiré par deux bœufs opiniâtres ; Gifford qui manque de mourir de la variole et qu’elle sauve in extremis ; Elie poursuivi par Bird Boisverd dont il a dérobé la monture, Arcadia, la musicienne itinérante, qui s’est fait voler son archet par la bande de Quibble. Et tant d’autres personnages, dont les destins singuliers, tels les fils entretissés d’une même pelote multicolore, composent une fresque sauvage où le mythe de l’Ouest américain, revisité avec audace et brio, s’offre comme un espace de partage encore poreux, ouvert à tous les trafics, à tous les transits, à toutes les itinérances.


Du western, j'ai retrouvé les paysages, les grandes plaines, les rivières torrentielles, les montagnes arides, j'ai retrouvé la conquête de territoires, l'esprit d'aventure et d'entraide, mais aussi les rivalités  et les luttes, les attaques des indiens et celle de la diligence. Mais ce roman me fait aussi penser aux bandes dessinées de Lucky Luke (vous noterez la hauteur de mes références culturelles.....): on y retrouve tous les personnages qui se mêlent dans les BD, les indiens, les blancs venant créer de nouvelles villes, les chinois débarquant dans les plaines hostiles du Far-West, les saloons, les danseuses....
Céline Minard a réussi à me transporter dans cet univers si particulier de la conquête de l'Ouest, en utilisant tous les "clichés" qu'on y rattache, mais sans tomber dans le piège de la copie: son univers est singulier, ses personnages hauts en couleur, et tous uniques en leur genre, et le fil qui les relie est d'une grande finesse.

J'ai beaucoup aimé ce livre, la découverte de chacun des protagonistes au fil des pages, leurs rencontres, et leurs histoires qui s'entremêlent et qu'on découvre au fur et à mesure. On s'attache aux personnages, et à l'histoire de cette ville qui se construit en même temps que les relations entre les hommes. Il y a la magie des échanges sans paroles entre les indiens et les blancs, l'importance de l'entraide, les lois implicites qui régissent ces contrées lointaines.... Je ne connaissais pas l'auteur, j'ai énormément aimé cette écriture qui nous transporte au Far-West, aux côtés de ses personnages, tout en conservant la magie et la poésie de ces plaines infinies.

Si vous ne l'avez pas encore lu, n'hésitez pas!

dimanche 22 décembre 2013

Coup de coeur: "Rien ne s'oppose à la nuit"


Offert à ma mère sur les conseils de blogueuses, j'ai enfin trouvé le temps de lire "Rien ne s'oppose à la nuit", de Delphine de Vigan.

D'abord, le résumé:
« La douleur de Lucile, ma mère, a fait partie de notre enfance et plus tard de notre vie d’adulte, la douleur de Lucile sans doute nous constitue, ma sœur et moi, mais toute tentative d’explication est vouée à l’échec. L’écriture n’y peut rien, tout au plus me permet-elle de poser les questions et d’interroger la mémoire. La famille de Lucile, la nôtre par conséquent, a suscité tout au long de son histoire de nombreux hypothèses et commentaires. Les gens que j’ai croisés au cours de mes recherches parlent de fascination ; je l’ai souvent entendu dire dans mon enfance. Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du Verbe, et celui du silence. Le livre, peut-être, ne serait rien d’autre que ça, le récit de cette quête, contiendrait en lui-même sa propre genèse, ses errances narratives, ses tentatives inachevées. Mais il serait cet élan, de moi vers elle, hésitant et inabouti. » Dans cette enquête éblouissante au cœur de la mémoire familiale, où les souvenirs les plus lumineux côtoient les secrets les plus enfouis, ce sont toutes nos vies, nos failles et nos propres blessures que Delphine de Vigan déroule avec force.

Je dois avouer qu'en lisant les premières pages du livre, je me suis demandée dans quoi je m'étais lancée. Parce qu'entamer le récit par la découverte du corps de sa mère, ce n'est pas évident. Et puis j'ai avancé dans les pages, dans l'histoire de Lucile retracée par sa fille, son enfance dans une famille nombreuse, la solitude au milieu de l'agitation familiale, les joies et les drames qui ont façonné les membres de la fratrie, puis sa vie de femme et de mère, ses descentes aux enfers, ses combats contre elle même, ses réussites et ses rechutes.
Je me suis attachée à la narratrice, qui raconte sa mère en recherchant à travers les témoignages de la famille à retracer les parts d'inconnu, qui cherche l'origine des failles de cette mère si peu parfaite, et si touchante. Par certains côtés, j'ai retrouvé dans cette histoire des similitudes avec "Le rendez-vous" de Justine Lévy, qui lui aussi retrace une mère et ses failles au travers des yeux de sa fille.

Je n'avais jamais lu de livre de Delphine de Vigan, son style m'a énormément plu, et j'ai été touchée par cet amour pour sa mère qui transparaît, sans complaisance envers ses défauts, mais sans jugement, tout en pudeur, pour essayer de rendre justice à cette femme qui a survécu pour ses filles, combattant ses démons pour elles.

Parce que mes mots ne seront jamais à la hauteur de ce livre, et parce qu'il m'a énormément plu, si vous ne l'avez pas encore lu, sans hésitations, allez-y!

mercredi 18 décembre 2013

Très fière!

Grande nouveauté du CP, les résultats ne sont plus maintenant quantifiés en Acquis / En cours d'acquisition / Non Acquis, mais avec des lettres pour "noter" les objectifs. En prime, on a les premières appréciations de la maîtresse, et je dois avouer que je suis très fière de mes Souriceaux:


Souriceau a toujours quelques difficultés à rester calme (mais on est en progrès, en tout cas à la maison), mais l'ensemble des résultats est très positif. Et surtout, il ne semble pas souffrir des excellents résultats de sa soeur, considérée depuis son entrée en Petite Section comme une élève modèle, une perle.....


Souricette, quant à elle, a été traumatisée à la lecture du bulletin par un A- et un B+ qu'elle ne savait pas expliquer, alors "qu'elle était sure de tout savoir". Nous avons demandé des précisions à la maîtresse sur les thèmes concernés, il s'avère qu'en fait ces 2 notes étaient celles d'une autre élève, que la maîtresse avait recopiées par erreur. Notre louloute était donc totalement rassurée!!!!

Je ne cherche pas à faire de mes enfants des bêtes à concours, ils ne sont pas en avance (bon, un peu pour la lecture quand même par rapport à leur classe, mais seulement un peu), mais je suis fière d'eux, et contente pour eux que ça marche, parce qu'il faut bien le reconnaître, je préfère voir mes enfants réussir sans trop de difficultés, c'est quand même plus simple pour eux (et pour moi)! Je mesure la chance que j'ai que cela se passe comme ça, la chance qu'ils soient tombés sur une maîtresse qui les encourage et ne met pas à l'écart mon Souriceau parce qu'il n'est pas toujours "dans le rang", la chance qu'ils acceptent globalement sans rechigner de faire leurs devoirs le soir (même si ça finit parfois en pugilat....)

Croisons les doigts pour qu'ils continuent sur cette lancée, parce que ce n'est que le début!!!!!

lundi 16 décembre 2013

Zéro pointé!


Zéro pointé, c'est le nombre de réponse positives de nos copains à venir fêter le réveillon chez nous cette année! Depuis près de 15 ans, on fête tous les ans la Saint-Sylvestre avec notre bande de copains de l'école. D'abord à Nantes, dans nos apparts d'étudiants, puis chez les uns et les autres, voire même dans des gites. Sur ces 15 ans, on n'a dû louper ces fêtes communes que 2 fois, pour cause de grippe ou gastro (des enfants ;-)).
Mais voilà, dans la bande au fur et à mesure on s'est mariés (ou non d'ailleurs!), les enfants sont arrivés, nous nous sommes éparpillés en France et à l'étranger, et les réveillons ont été plus petits, plus calmes, parce que chaque année il y a ceux qui font Noël dans une famille, et le réveillon dans l'autre, ceux qui restent à l'étranger, ceux qui partent au ski avec les enfants (ben, oui, parce que maintenant, nos enfants sont en âge de monter sur des skis...), ceux qui se sont éloignés de la bande, ceux qui le fêtent avec d'autres... Jusque là, on avait quand même réussi à se réunir à quelques uns, mais cette année, non.

Je dois avouer que cela ne me perturbe pas plus que ça, à la Souricière on est plutôt casaniers, et l'idée de faire une belle soirée tous les 4, avec un bon dîner de fête, et une soirée film à 4, avec l'autorisation pour les enfants de veiller plus tard avec nous, peut-être un feu dans la cheminée pour parfaire l'ambiance de fête, ça me plaît assez. Ce qui me perturbe par contre, c'est l'image que les gens se font de nous à travers cette soirée: autour de moi, si je dis qu'on va passer le réveillon tranquilles tous les 4, j'ai le droit à un "Ah bon?" teinté de "Ma pauvre, tu n'as pas d'amis!" (c'est peut-être d'ailleurs ce que vous vous êtes dit en lisant les lignes qui précèdent ;-)). Alors effectivement, sur ce coup là on n'a pas d'amis, et peut-être qu'on n'attendra pas minuit pour se souhaiter la bonne année (sachant qu'en ce moment je me couche avec les poules tellement je suis naze) - mais de toute façon, les sms ne passent pas à minuit!, mais je suis sure qu'on passera une très bonne soirée! Et puis finalement, je crois que ce qui m'importe c'est de finir en douceur 2013, et de commencer du bon pied 2014, que cette nouvelle année soit plus facile que 2013 pour nous et pour tous ceux qu'on aime.

Et chez vous, le réveillon, ça s'annonce comment?

vendredi 13 décembre 2013

Grand concours de Noël (My Little Square & Linna Morata)

 
Je n'ai hélas pas gagné la superbe machine à coudre (et les lots associés), mais Linna Morata nous offre une nouvelle chance de gagner un superbe cadeau pour Noël, composé de:
- une étagère house box Bloomingville 
- un headband bruna griotte Corinne Philippon  
- un kit poupée ballerina 4m  
- un notebook à motifs Depeapa 
- un sandwich bag Olula se casa 
- un vernis watercolors Hopscotch Kids
- un bavoir chaperon rouge linna morata
- une trousse SHinzi Katoh linna morata
- une porte monnaie libert linna morata
- yn cartable lapin SHinzi Katoh linna morata
- 2 barrettes linna morata

Allez vite tenter votre chance !

mercredi 11 décembre 2013

Cadeaux de rêve


Si vous voulez tenter de remporter ces superbes lots ( une machine à coudre Elna LOTUS, 3 patrons Citronille, un lot de 15 bobines de fil, un lot de 17 coupons de tissus linna morata), il faut vite aller jouer  avant le 12/12 à minuit!

Bonne chance à toutes (enfin pas trop quand même ;-))!

mardi 10 décembre 2013

Loi de Murphy, le retour

Je ne suis pas trop superstitieuse, mais par contre la loi de Murphy, j'y crois. Et ce week-end, on en a encore eu la preuve: samedi soir, au moment de préparer la raclette prévue, je descends à la cave chercher l'appareil....et je me retrouve les pieds dans l'eau. Bien sûr, c'est pile quand la cocotte se met à siffler, qu'il faut faire manger les Souriceaux pour éviter de les coucher à pas d'heure....mais ce n'est pas grave malgré tout, c'est dans le sous-sol. J'appelle Mr Souris à la rescousse, on cherche d'abord la fuite, ouf, ce n'est pas un tuyau, c'est "juste" le lave-linge. On connaît, il nous a déjà fait un dégât des eaux, on va gérer. Mr Souris commence à évacuer l'eau à la raclette, mais c'est long, il y en a partout.On utilise donc notre joker "appel à un ami", en l'occurence un voisin, pour lui emprunter un aspirateur à eau (bien joué, il en a un!!!!). Je récupère l'aspiro, on dîne, on couche les enfants (coopératifs pour une fois), et on redescend vider le sous-sol. Pendant que Mr Souris aspire, j'essaye de mettre à l'abri ce qui peut encore l'être, je vide les cartons trempés....
Une fois l'eau vidée, on passe au lave-linge (plein de linge et d'eau...), on le retourne, la durite est en place, on relance la machine, ça fuit.....finalement, c'est un bouchon qui a sauté à l'arrière du tambour, bizarre! Point positif, on a retrouvé les chaussettes que j'avais perdues, en fait c'est la machine qui les mange (eh oui....)
On remet le bouchon, on relance la machine, et on décide d'aspirer les restes d'eau....et là, c'est le drame! L'aspirateur se met à fumer, ça sent le brûlé....moteur cramé!!!!! Heureusement qu'il ne nous a pas fait ça avant que le sous-sol soit sec, ça aurait été encore plus pénible ;-)

On se couche (tard, il a fallu attendre la fin de la lessive, en vérifiant toutes les 10 minutes), le lendemain Mr Souris redémonte toute la machine qui continue à fuiter légérement (2 fois...), j'arrive quand même à faire les 3 lessives qu'il me reste (toujours en vérifiant toutes les 10 minutes), puisque j'ai vidé la cave, on en profite pour aller déposer à la Grande Récré les jouets des enfants qu'ils n'utilisent plus (une bonne action, ça améliore le karma?), Mr Souris tente avec le voisin de réparer l'aspirateur (sans succès, mais en faisant sauter les plombs 4 fois de suite), quant à moi je range....je loupe une marche dans l'escalier, je me rattrape comme je peux, je me tords le dos tout comme il faut....et je fais tomber la pierre de la pierrade, qui se brise en 2!

Nuit pourrie dans la foulée, Souriceau tousse sans arrêt, et lundi matin, 7h15, coup de fil de mon père (qui ne m'appelle jamais, mon stress monte d'un coup): ma mère doit voir un médecin pour un problème à l'ongle qui traîne depuis longtemps, et qui pourrait être un mélanome malin. La journée a été longue, le dignostic pas tranché (le médecin est un peu sceptique, il faut attendre la biospie), par contre quelque soit le problème, c'est pris à temps et n'aura pas de conséquence (à part un grattage conséquent de l'ongle, mais c'est un moindre mal).
J'en profite pour remercier cette femme médecin qui, dans le métro, en voyant la main de ma mère, lui a dit d'aller consulter en urgence (et qui d'ailleurs lui a trouvé un créneau très vite dans son agenda), parce que sans elle ma mère n'aurait probablement été chez le médecin que très tard (trop tard?), et merci à l'ange gardien de ma mère qui l'a protégée (même si on lui a clairement fait comprendre que la prochaine fois, elle est priée de ne pas compter sur l'aide de la Providence....)

J'espère que cette bonne nouvelle marque la fin de la série du week-end, et de l'année ;-)

vendredi 6 décembre 2013

A l'approche de Noël

Nous voilà en décembre, denière ligne droite avant Noël, et la Félicie's Family se prépare doucement: les lettres au Père Noël ont été envoyées, pour la première, et probablement la dernière fois. En effet, les copains d'école commencent à semer le doute dans la tête des Souriceaux, et ma loupiotte m'a dit: "Tu sais Maman, B. Et F., elles m'ont dit que ce sont les parents qui mettent les sous pour les dents, et les cadeaux sous le sapin. C'est vrai?" J'ai botté en touche en lui demandant ce qu'elle en pensait, elle a maintenu la version Petite Souris et Père Noël...mais je pense que ça ne durera pas! 

Les cadeaux de Nöël ont tous été commandés, il ne manque plus qu'un paquet à recevoir! Pour la première fois, même les cadeaux de mes parents auront été trouvés avant le 1er décembre!!!!



Préparer Noël, c'est aussi installer et décorer le sapin, toujours pour le plus grand plaisir des enfants. Cette année, on a même acheté une étoile à mettre tout en haut! C'est à peine si ils me laissent installer les guirlandes (pour qu'ils ne fassent pas tomber le sapin), mais même les boules les plus hautes ont été placées par eux (heureusement qu'on a aussi investi dans un pied de sapin un peu plus stable que la traditionnelle bûche ... les mauvaises expériences de l'an dernier nous ont servi de leçon ;-))


Et puis décembre, c'est le mois de l'Avent. Les enfants ont fait la crèche, et ils ont cette année placé 2 petits personnages en bord de crèche, qui avancent au fur et à mesure (ou pas d'ailleurs, les menaces de ne pas avoir de cadeaux sont de moins en moins efficaces...). Pas toujours facile de leur expliquer qu'il faut préparer son coeur pour Noël, sachant que leur père est fortement athée et n'est d'aucune aide dans le domaine (tant qu'il ne dit rien, c'est déjà ça!), mais j'essaye malgré tout.


Et qui dit Avent dit calendrier de l'Avent! Cette année, pas de calendrier Pomme d'Api pour cause de changement d'abonnement, j'ai donc craqué et choisi des calendriers avec chocolat (ce qui, honte à moi, me donne pendant 1 mois une menace pour obtenir la paix ....même si ce n'est pas très efficace, et qu'en plus j'ai toujours du mal au moment d'ouvrir la case de leur refuser le chocolat)

Et chez vous, les préparatifs de Noël, c'en est où?

vendredi 22 novembre 2013

Cour de récré


Si l'école est un lieu d'apprentissage, ce n'est pas uniquement dans les salles de classe, mais aussi dans la cour de récré, et en particulier pour le vocabulaire, le meilleur comme pour le pire:
J'ai bien rigolé quand les Souriceaux m'ont demandé ce qu'était un "bébé cadum" (la tradition orale fonctionne...), beaucoup moins quand ma fille m'a sorti "Non mais allô quoi!" Sans parler des multiples gros mots qu'ils enregistrent avec beaucoup plus de plaisir que leurs listes de mots invariables ;-)

Mais la cour de récré, c'est aussi la découverte de la vie, ses injustices, ses plaisirs, ses lois.... Et cette découverte, je trouve qu'elle est très forte au CP, beaucoup plus qu'en maternelle: en maternelle, les enfants étaient très protégés en petite section, et les premières "crises de récré" ne sont apparues qu'en grande section, avec les "Aujourd'hui, personne n'a voulu jouer avec moi "(qui font mal à mon coeur de maman), les "on s'est fait encercler, et ils nous ont tapé" (et ça me donne des envies de meurtre...), il a fallu leur expliquer que ce n'était pas grave, qu'il ne faut pas rendre les coups (mais aller voir la maîtresse), que des amis ils peuvent s'en faire d'autres....

Depuis leur entrée au CP, mon Souriceau a découvert un autre monde! Il ne nous parle plus tous les soirs de son meilleur copain M. (certes gentil, mais qui je crois a un peu tendance à profiter de l'admiration que mon fils à pour lui), il joue avec des grands: "Maman, aujourd'hui j'ai gagné un CM2" (comprendre qu'il a gagné aux billes contre un CM2), il joue au foot, s'est fait de nouveaux copains...
Dans la cour, il découvre que tous les enfants ne respectent pas les règles (comment ça, ils ne veulent pas donner leurs billes quand ils perdent!), qu'on ne peut pas toujours faire ce qu'on veut, que les autres ont le droit de ne pas vouloir venir dans son équipe, mais que ça ne veut pas dire qu'ils ne l'aiment pas. Et aussi qu'il y a des enfants gentils, celui qui lui a donné sa première bille pour qu'il puisse jouer (depuis il en a gagné plusieurs, ouf), celui qui lui en a donné une pour calmer sa colère, parce que son adversaire perdant n'avait pas voulu lui donner la bille due.
Il apprend la valeur des choses, par exemple grâce aux cartes Pokémon et aux échanges: "Ca vaut pas hein maman, déchanger une carte avec 90 PV contre une avec 150" (ben heuuuuu), et en plus du coup il s'entraîne à lire pour déchiffrer les cartes. Bon, pour le calcul ce n'est pas encore ça, ce sont les grands qui additionnent - enfin qui essayent - pour les scores. Autant vous dire que certaines fois, heureusement que mon loulou ne sait pas encore suffisamment bien compter!

Souricette, quant à elle, est beaucoup plus discrète sur ses activités de récré, par contre elle est passée maître dans l'art de se faire donner des choses: "C'est F. qui m'a donné la bille GRATOS!!!!". C'est comme ça qu'elle a commencé sa collection de cartes Pokemon, beaucoup plus rapidement que son frère qui lui avait compris la notion d'échanges, et qu'elle a récupéré sa première bille.

Et puis à la récré, nos loulous découvrent les jeux à la mode (chez nous pour le moment c'est cartes Pokemon et billes (et en plus, ils jouent toujours à "la tique")), puisque n'ayant pas de grand frère ou grande soeur, ils ne sont pas au courant. Et donc ils découvrent aussi la frustration de ne pas avoir tout tout de suite comme les autres, parce que "non, on ne peut pas aller acheter des billes ce soir!" Et comme nous sommes des parents indignes, ils vont même devoir apprendre que dans la vie, tout n'est pas dû, et sacrifier un peu de leur pécule de la petite souris pour avoir ces fameuses billes "pépites" tant convoitées (je vous rassure quand même, on a investi sans leur dire dans 3 kg de billes supplémentaires, pour qu'ils puissent jouer - et perdre en honorant leurs dettes - dans la cour).

Et moi je regarde avec émotions mes enfants se lancer dans la cour des grands, en espérant qu'ils y trouveront leur place sans problème (parce qu'autant j'ai de bons souvenirs de mes années CP à CE2, autant mes CM1/CM2 ne font pas partie de mes moments préférés, même si il y a eu de bonnes parties d'épervier ou de stickers, parce qu'on avait déménagé, et que je n'ai jamais réussi à "refaire mon trou"), qu'ils se feront de bons amis et plein de bons souvenirs! 

samedi 16 novembre 2013

Lecture: "L'espoir, cette tragédie"


Je viens de terminer le roman de Shalom Auslander "L'espoir, cette tragédie". Je lis en diagonale (il me semble vous l'avoir), et je dois avouer j'ai cette fois-ci vraiment lu en diagonale (les enfants avaient des copains cet après-midi, pas simple de se concentrer....), mais j'ai énormément apprécié ce livre.

Résumé pour commencer:
En choisissant d’établir sa famille dans la petite ville de Stockton, dans l’État de New York, Salomon Kugel pensait avoir enfin laissé derrière lui le bruit et la fureur de la Grosse Pomme.
Or, à peine installé, force lui est de reconnaître que la vie à la campagne ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices : sa mère d’abord, qui s’accroche farouchement à la vie « par devoir de mémoire », en omettant de dire qu’elle-même n’a pas vécu l’Holocauste ; son épouse, jamais la dernière pour scruter ses moindres faits et gestes et lui rappeler la fragilité de leur situation financière ; et ce pyromane qui sème la terreur dans la région et que les appétissants bardeaux de la nouvelle maison Kugel ne devraient pas manquer de séduire.
Et puis il y a ces curieux bruits dans le grenier. Rassemblant son courage, Salomon décide d’y monter : stupeur ! Quelle est cette créature ? Une femme, très vieille, très poussiéreuse et très énervée. Une femme dont Salomon, voire le monde entier, pensait qu’elle était morte ! Une femme bien résolue à faire éclater toute la vérité sur son histoire…


Je dois avouer que j'ai bien du mal à expliquer pourquoi ce livre m'a plu. Il est totalement décalé, parfois difficile à suivre, mais j'ai accroché avec le personnage principal complètement névrosé, qui cherche à protéger sa famille de tout ce qui pourrait lui arriver, pour qui l'Holocauste est omniprésent et conditionne son comportement et ses angoisses. Et puis il y a cette femme dans le grenier. Un mythe, qui se trouve remis en cause (je ne veux pas en dire plus, je trouve que ça fait partie du charme du roman de découvrir au détour d'une page qui se cache dans les combles de la maison).
J'imagine qu'on peut tirer plein de réflexions philosophiques à partir de ce livre, mais je ne suis pas critique littéraire, et pas compétente pour une analyse poussée du roman. J'imagine aussi que ce livre peut déranger, on peut se poser la question de savoir si l'on peut rire de tout, qu'il peut ne pas plaire du tout, mais pour ma part j'ai été embarquée dans les méandres des pensées de Solomon Krugel, et je sais qu'il faudra que je relise au moins une fois ce livre pour en apprécier pleinement la totalité (puisqu'en lisant en diagonale, j'en ai lu la moitié ;-))

Et vous, vous l'avez lu?

vendredi 15 novembre 2013

Lait Fraise - Une pluie de cadeaux #8

Encore des cadeaux chez Lait Fraise aujourd'hui:
Pour tenter de remporter un de ces lots, allez répondre  à la question "L'enfance, ça vous évoque quoi", avant le 17 novembre.

Bonne chance!

jeudi 14 novembre 2013

Lait Fraise - une pluie de cadeaux #7

Aujourd'hui chez Lait Fraise, concours "création", avec tous ces jolis lots à gagner:
Comme d'hab, il vous suffit de répondre avant le 17 novembre à une petite question: «  Vous êtes plutôt branché(e)s tricot, crochet, couture, confection de bijoux, scrapbooking… ? ».

A vous de jouer!

mercredi 13 novembre 2013

Lait Fraise - Une pluie de cadeaux #6

Aujourd'hui, concours bien-être chez Lait Fraise, pour tenter de gagner ça:
C'est tout simple, il vous suffit de répondre avant le 17 novembre à cette question:
«  Votre secret bien-être, c’est quoi ? ».

Bonne chance (enfin pas trop, j'adorerais gagner le calendrier des thés!!!!)

mardi 12 novembre 2013

Trop sympa!

Ce soir, au moment des bisous avant de dormir, mon Souriceau m'attrape par le cou et me chuchote: "Tu sais Maman, t'es trop jolie". Et il ajoute "t'es toujours très jolie"..... Autant vous dire que j'ai fondu....jusqu'à ce qu'il ajoute "mais parfois, t'es trop moche! des fois tu portes des gros pulls"

Avec l'hiver qui arrive, je sens que je vais être servie en compliments ;-)

Lait Fraise - Une pluie de cadeaux #5

Après la pause du week-end, la pluie de cadeaux reprend chez Lait Fraise



Il suffit de répondre à la question suivante: «  Votre liste au Père Noël, dites-nous tout !!! »

Bonne chance à toutes!

dimanche 10 novembre 2013

A petits points....

Après la robe dont je vous avais parlé , j'ai testé (toujours avec mon super tissu de brouillon) une blouse trouvée chez Petit Citron. J'ai eu un peu de mal à comprendre comment assembler les pièces (mais en m'aidant d'un autre patron), j'ai fini par y arriver. Grand morceau de bravoures, les fronces, je pense qu'il va falloir que je trouve de astuces, parce que le résultat laisse à désirer ;-), et j'ai dû me battre avec ma machine pour les boutonnières, mais j'ai gagné!!!!!!
Cela dit, je suis assez fière du résultat (c'est tout l'intérêt des photos de loin!):

Et quand ma Souricette est rentrée de vacances, on a pu faire l'essayage de la robe et de la blouse:

Histoire de ne pas avoir de jaloux, j'ai tenté aussi un pyjama pour Souriceau. Patron trouvé  pour le pantalon (a priori c'est un pantalon assez large, et assez long, mais pour l'instant mon loulou n'a pas voulu faire l'essayage pour calibrer au moins la longueur), T-shirt blanc tout simple sur lequel j'ai voulu faire une applique dans le tissu du pantalon. Il m'a fallu autant de temps pour faire l'applique que pour coudre tout le pantalon, et que le résultat de près est loin d'être terrible! Mais en vue d'ensemble, je ne suis pas mécontente!


Si je fais le bilan, après 3 réalisations, il va falloir que je travaille sérieusement la pose des fermetures éclairs, les fronces et les appliques.... Je ne suis pas prête de faire la garde-robe de mes enfants "pour de vrai", mais au moins ce n'est pas un échec total, un peu d'entraînement et je pourrai passer au "vrai" tissu ;-)

vendredi 8 novembre 2013

Lait Fraise - Une pluie de cadeaux #4

Aujourd'hui, concours culture chez Lait Fraise! Pour tenter de gagner l'un des lots suivants, répondez à à la question: "Quel est le livre de votre enfance qui vous a le plus marqué(e) ? "




Bonne chance!

Mais ça, c'était avant!


Avant, je pouvais me coucher à 6 h du mat', et aller en cours à 8h, sans le payer toute la semaine,
Avant, je pouvais manger sans grossir :-(,
Avant, je détestais courir,
Avant, je ne buvais jamais de thé,
Avant, je détestais la couture....

Mais ça, c'était avant!

Maintenant, il me faut 1 semaine (au moins) pour récupérer après une mauvaise nuit,
Maintenant, je ne peux plus grignotter entre les repas,
Maintenant, je déteste toujours autant courir, mais je me force pour ma santé,
Maintenant, je bois du thé toute la journée,
Maintenant, je me suis mise à la couture....

D'après mon cher et tendre, c'est officiel, je suis une mamie!

mercredi 6 novembre 2013

Souricette's day


Hier matin, après 2 nuits d'enfer et une journée à la maison pour cause de gastro, Souricette dopée à l'advil presque en forme me répond quand je lui ai demandé si elle se sentait d'aller à l'école:
- "Ton portable, il chargé Maman, pas comme celui de Papa....lui il est toujours déchargé son téléphone, il ne sert à rien!"
Et pan, dans les dents....je précise que son père était là!

Bon, la suite était moins drôle
-"Bien sûr ma chérie, pourquoi?"
-"Ben comme ça si ça va pas, je dirai à Maîtresse de t'appeler!"

Of course la maîtresse m'a appelée (j'ai quand même gagné 1/2 journée, espérons que l'hiver sera plus calme que l'an dernier, je n'ai presque plus de RTT...).

Et parce que ma fille a une vocation de diseuse de bonne aventure, le soir même, alors que son père me disait que de toute façon après elle ce serait son frère....elle l'a gentiment repris:
"Mais non papa, après moi, ce sera Maman qui sera malade, puis toi, puis Souriceau!"

Je préfèrerais qu'elle me donne le tirage de l'Euromillion....en attendant je touche du bois pour qu'elle n'ait contaminé personne ;-)


Lait Fraise - Une pluie de cadeaux #3


Parce que c'est bien connu, en novembre il pleut, la pluie de cadeaux continue chez Lait Fraise! Et aujourd'hui, on joue pour la déco, donc si vous voulez gagner l'un de ces jolis lots:
allez vite participer là, en répondant à la question suivante: «  La déco, dans votre home sweet home à vous, vous l’envisagez comment ? »
On peut jouer jusqu'au 17 novembre, alors à vos claviers!

mardi 5 novembre 2013

Lait Fraise - Une pluie de cadeaux #2

Chez Lait Fraise, la pluie de cadeaux continue:

Pour tenter de gagner un de ces accessoires, laisser un com , en indiquant si vous être plutôt branchée chaussures, sacs ou bijoux!
On peut jouer jusqu'au 17 novembre, et si vous être fan de la page FB, et/ou si vous relayez l'info sur vos blogs / IG, vous avez des chances en plus!

Bonne chance à toutes!!!!

Lait Fraise - Une pluie de cadeaux #1

Pour toutes les fans de mode, allez tenter votre chance chez Lait Fraise pour essayer de gagner l'un de ces superbes lots:

Pour jouer, il suffit de laisser un commentaire en indiquant ce qu'évoque pour vous la mode enfantine. Et pour avoir des chances supplémentaires, il suffit d'être fan de la page FB de Lait Fraise, et de relayer sur son blog / IG.
Alors à vos claviers!

vendredi 1 novembre 2013

Jalousie


Il faut bien le reconnaître, si je devais cocher les péchés capitaux qui me concernent, j'en suis à 5 sur 7 (je vous laisse deviner lesquels....). Mais le choix du jour, c'est l'envie. Parce que c'est affreux à dire, mais je suis envieuse.

Envieuse de mes frères et amis qui ont réussi sans problème à avoir des enfants, parce que ça n'a pas été notre cas (je vous l'avais dit et ),
Envieuse de ma jeune collègue capable d'acheter une super maison plus grande que la mienne, et super bien agencée (et pourtant j'adore ma maison de bric et de broc, qui nous ressemble),
Envieuse de ma meilleure copine dont les enfants sont précoces, alors que je sais pertinemment que ça lui crée d'autres problèmes pour que ses enfants s'épanouissent avec/malgré leurs dons,
Envieuse de cette même copine, parce que ses enfants font toutes sortes d'activités, sport, musique...., alors que je sais que c'est parce qu'elle ne bosse pas qu'elle peut leur consacrer beaucoup plus de temps que moi (et ensuite je culpabilise ;-)),
Envieuse de tous ceux qui offrent beaux vêtements, cadeaux, sorties... à leurs enfants, alors que c'est nous qui faisons des choix différents pour nos enfants,
Envieuse de ces couples "bien assortis", où les référents culturels et d'éducation sont les mêmes,
Envieuse de ces familles qui voyagent, sortent, vont aux musées, ont des enfants sages, des enfants sans problèmes ......
Et je pense que la liste pourrait être encore longue (si vous aviez une bonne opinion de moi, je suppose que c'est fini ;-))

Oui, je suis envieuse, mais ces petites pointes de jalousie passent, parce que je sais la chance que j'ai d'avoir un mari qui m'aime, des enfants qui, si ils ne sont pas parfaits, sont en bonne santé (en tout cas la plupart du temps), et pas si pénibles que ça, qu'on a une maison qui nous ressemble, des activités qui nous ressemblent (même si parfois ça ressemble plus à Mr Souris qu'à moi, c'est ça aussi un couple), et parce que finalement derrière ces façades qui me font envie, tout le monde a ses hauts et ses bas, que la perfection n'existe pas, et que c'est à moi de faire que ma vie soit la plus belle possible!

Et pour revenir à des choses plus "futiles", cette affiche qui illustre ce post a longtemps orné les murs de ma chambre (au grand dam de ma mère), parce que j'ai adoré ce film (pourtant bien glauque). Je crois que c'est le seul film dans lequel je trouve Brad Pitt séduisant, parce qu'il est loin de son image de beau gosse dans son rôle de flic torturé. C'était mon époque films glauques (dans la même période j'ai vu "Une nuit en enfer", de Tarantino, avec Georges Clooney qui ne faisait pas encore les pubs Nespresso....), passion partagée avec mes cousins, mais ça, c'était avant..... Maintenant, c'est dessins animés et films d'animation, on s'adapte ;-)

lundi 28 octobre 2013

Vacances d'automne



Voilà une semaine déjà que les enfants sont en vacances. Et pour bien commencer, on a testé le cinéma le dimanche matin (quitte à être levés, autant rentabiliser le temps ;-)), et je suis allée avec les Souriceaux voir Planes. Ca a beaucoup plu aux enfants (à moi aussi d'ailleurs), même si certaines subtilités et rebondissements les ont complètement dépassés, ce qui m'a valu des explications à voix basse pendant le film, pour faire comprendre à ma Souricette pourquoi la gentille Indienne avait été méchante par exemple!



Les enfants ont enchaîné avec quelques jours de centre de loisirs, et grâce au temps ils se sont régalés: foot, piscine, fléchettes, bracelets brésiliens .... ils n'étaient bizarrement jamais contents de me voir arriver le soir!

Ils sont maintenant partis avec mes parents à la montagne, ce qui implique que pour nous aussi, ce sont les vacances!!!! Et si Mr Souris a profité du week-end pour avancer la peinture des portes, moi j'ai pris du temps pour moi (enfin!): un peu de jogging (faut ce qu'il faut), passage à la bibliothèque, lecture au calme, petite virée chez mes amis suédois pour me trouver une table de travail pour installer mon espace couture (parce que j'ai bien tenté la table de la salle à manger, mais si je dois tout installer/replier à chaque fois, je ne vais pas réussi à avancer!), et surtout beaucoup de couture. Et j'ai réalisé ma première robe "toute seule": robe chasuble patron "Petit Citron", taillée en 9 ans (il faut maintenant que l'héritière l'essaye pour valider la taille), tissu "de brouillon" acheté pas cher (histoire de vérifier que je m'en sortais sans bousiller le tissu choisi), brouillon très joli mais pas facile à travailler car très fin et un peu extensible, donc j'ai eu du mal à couper correctement, et ça bougeait pour les coutures. J'ai fini par m'en sortir, et j'ai même réussi à poser la fermeture éclair, mais vous n'aurez pas d'image du dos, je ne suis pas très fière de moi sur ce coup-là, il va falloir que je m'entraîne! Entre le positionnement du tissu par rapport à la fermeture, la couture à tirer droit, et surtout la tirette qui ne passe pas sous mon pied de MAC, j'ai failli jeter l'éponge.... Si vous avez des techniques et astuces pour poser les zips, je suis preneuse ;-)
Voilà quand même le résultat (vu de loin ce n'est pas si mal), il y a encore du travail pour la finition des parementures col et manches, parce qu'à l'intérieur ce n'est pas top!!!!!

La prochaine fois ce sera avec du joli coton à pois (et au moins je n'aurais pas à aligner les rayures....), taille à ajuster en fonction de ma choupette.

Si vous avez des bons plans tissus (surtout sur internet), et des conseils pour des patrons garçons/filles à partir de 8 ans n'hésitez pas (je voudrais faire un pyjama pour mon loulou, est-ce que vous savez où je peux trouver un patron de pantalon de pyjama ?).

Merci d'avance, et bonne semaine!

PS: pour toutes celles qui sur mes conseils comptent lire "Une part de ciel", j'espère que vous ne serez pas déçues: samedi la bibliothèquaire a été très surprise que j'ai réussi à finir le livre, qui ne lui avait pas du tout plu. Apparemment c'est tout ou rien, on aime ou on n'aime pas! 

dimanche 20 octobre 2013

Lecture: "Une part de ciel"


Pas beaucoup le temps de lire, entre le boulot, les enfants, mes débuts en couture (et le choix de ma machine...), beaucoup de lectures faciles, romans policiers en particulier, mais malgré ça, une jolie trouvaille lors de mon dernier passage à la bibliothèque: "Une part de ciel", de Claudie Gallay. J'avais adoré "Les déferlantes", un peu moins "Dans l'or du temps', je n'ai donc pas hésité à emprunter le dernier roman de Claudie Gallay.

Résumé du livre d'abord:
Aux premiers jours de décembre, Carole regagne sa vallée natale, dans le massif de la Vanoise, où son père, Curtil, lui a donné rendez-vous. Elle retrouve son frère et sa soeur, restés depuis toujours dans le village de leur enfance. Garde forestier, Philippe rêve de baliser un sentier de randonnée suivant le chemin emprunté par Hannibal à travers les Alpes. Gaby, la plus jeune, vit dans un bungalow où elle attend son homme, en taule pour quelques mois, et élève une fille qui n’est pas la sienne. Dans le Val-des-Seuls, il y a aussi le vieux Sam, pourvoyeur de souvenirs, le beau Jean, la Baronne et ses chiens, le bar à Francky avec sa jolie serveuse…
Dans le gîte qu’elle loue, à côté de la scierie, Carole se consacre à une traduction sur la vie de Christo, l’artiste qui voile les choses pour mieux les révéler. Les jours passent, qui pourraient lui permettre de renouer avec Philippe et Gaby un lien qui n’a rien d’évident : Gaby et Philippe se comprennent, se ressemblent ; Carole est celle qui est partie, celle qui se pose trop de questions. Entre eux, comme une ombre, cet incendie qui a naguère détruit leur maison d’enfance et définitivement abîmé les poumons de Gaby. Décembre s’écoule, le froid s’installe, la neige arrive… Curtil sera-t-il là pour Noël ?
Avec une attention aussi intense que bienveillante, Claudie Gallay déchiffre les non-dits du lien familial et éclaire la part d’absolu que chacun porte en soi. Pénétrant comme une brume, doux comme un soleil d’hiver et imprévisible comme un lac gelé, Une part de ciel est un roman d’atmosphère à la tendresse fraternelle qui bâtit tranquillement, sur des mémoires apaisées, de possibles futurs.

C'est dans une atmosphère feutrée, comme dans un paysage de neige, qu'on découvre les protagonistes de cette histoire: les 3 enfants de Curtil d'abord, rassemblés par l'espoir de revoir leur père, par la magie de petites boules de verre avec un paysage à l'intérieur, messagères d'un rendez-vous familial, et tous les personnages qui gravitent autour d'eux, famille, amis, voisins, proches ou lointains. Comme ces boules de verre font remonter des souvenirs d'enfance en chacun d'entre nous, elles ramènent les personnages à replonger dans leur passé, jusqu'à l'incendie qui a détruit leur maison pendant leur enfance, et influencé le futur. Profitant de cette absence, Carole va exprimer ces non-dits, lever des malentendus pour enfin pouvoir reconstruire le lien familial entre elle et ses frères et soeurs.

J'ai beaucoup aimé cette écriture en douceur, le livre se déroule au rythme de la vie dans ces montagnes, et en filigrane de cette histoire de famille, l'histoire d'un village qui se pose la question de son avenir, s'ouvrir au monde ou rester fermé sur ses habitudes. J'ai aimé les personnages qu'on découvre au fil des pages, cet amour et cette humanité qui animent les habitants du Val et nous donnent envie d'avancer dans l'histoire avec eux. Grâce à l'écriture de Claudie Gallay, on se retrouve plongé au coeur de ces montagnes, au coeur de cette histoire, si simple et si semblable aux nôtres, remplie de questions, de doutes, de secrets, de rancoeur, mais aussi de famille, d'amitié, d'entraide...

Alors si ça vous tente, bonne lecture!

lundi 14 octobre 2013

Souvenirs souvenirs

Ce soir dans ma voiture, en rentrant du boulot, je suis tombée à la radio sur une très vieille chanson qui a fait resurgir d'un coup la nostalgie de ma jeunesse (OK, écouter RFM ou Nostalgie ça n'aide pas à se sentir jeune, mais j'adore chanter dans la voiture ;-)). 
La chanson c'était ça, et non, je n'ai pas honte du tout d'avoir craqué à mort sur Tom Cruise (j'étais jeune, je vous le rappelle).

Ca m'a donné envie de parler de toutes ces chansons qui nous ont marqué, et qui font remonter comme des petites bulles des souvenirs enfouis....mais finalement, aujourd'hui, c'est un autre souvenir qui m'a frappé, quand en remontant le linge (ça c'est poétique), je suis tombée nez à nez avec ce cadre, rangé dans une étagère:


Ce cadre, c'est un cadre de la fête des mères, sauf que ce n'est pas un de mes loulous qui me l'a offert, mais un p'tit gars à qui, quand j'étais en prépa, j'ai fait du soutien scolaire. J'étais en sup dans un lycée privé, j'ai débarqué pleine de bonnes intentions (et avec un certain nombre de mes petits camarades) dans un foyer d'urgence de la DDASS, et j'ai découvert un monde que je n'imaginais même pas. D'entrée, discours réfrigérant du directeur du foyer (qui faisait peur  - le directeur, enfin le discours aussi d'ailleurs), pour nous expliquer que ce que les enfants avaient vécu, on ne pouvait pas le gérer, qu'on n'était là que pour les aider à faire leurs devoirs, qu'il ne fallait pas les laisser nous raconter leurs histoires, qu'avec eux, il fallait rester patient, même quand on arrivait au bout de la patience, parce que ces mômes ne connaissaient que la violence des adultes.... Et j'ai fait sa connaissance. Il avait 11 ans, le niveau scolaire d'un enfant de CP ou CE1, il se butait quand il ne comprenait pas (et c'était souvent), et moi qui ne suis pas patiente pour 2 sous, j'ai appris pour lui à me maîtriser, à rester calme (dommage que ça ne fonctionne pas comme ça avec mes loulous....). Pendant 1 an je l'ai accompagné le jeudi après-midi dans ses devoirs, et le jour de la fête des mères, parce qu'il n'avait personne à qui le donner, c'est pour moi qu'il a fait le cadre.

Ce cadeau, 17 ans après je l'ai toujours, parce qu'il a été pour moi la plus belle récompense, celle de me dire que je lui avais apporté quelque chose, mais aussi un moment de tristesse immense, parce que cet enfant avait une mère, mais que ce n'était pas à elle qu'il avait pu l'offrir, parce que sa famille était brisée, que sa mère ne pouvait assurer son rôle de mère (il ne m'a jamais raconté, je ne devais pas demander, et je pense que je n'aurais pas supporter de l'entendre me dire ce qu'il avait subi, qu'à demi-mot on m'avait laissé imaginer....).

Cet enfant, je n'ai jamais su ce qu'il était devenu, c'était le deal, on les voyait 1 an et ensuite on repartait à nos études, on n'avait pas le droit de s'attacher à eux, pas le droit de les laisser s'attacher, parce qu'on n'était que de passage, trop jeunes pour les aider à se reconstruire et à retrouver une vie normale.
Voir ce cadre aujourd'hui que je suis mère, que je sais la joie que procure à mes enfants le fait de réaliser ces cadeaux pour nous et de nous les offrir, me permet de réaliser ce que ça a dû être pour lui de ne pouvoir le faire que pour une étrangère de passage dans sa vie.

J'espère de tout coeur que la vie lui a redonné de l'espoir, qu'il a eu droit à l'amour qu'il méritait, et que la chance lui a souri.

A toi F., merci de m'avoir accordé ta confiance, de m'avoir laissé t'accompagner pour ce tout petit bout de chemin qu'on a fait ensemble, et où que tu sois, je t'envoie des pensées d'espoir!

mercredi 9 octobre 2013

Pour une première tentative...

...je suis plutôt fière de moi!

je vous rassure, elle n'est pas repassée, je ne suis pas nulle à ce point là avec le fer...
Bon, j'ai quand même eu beaucoup d'aide de ma prof, mais ça m'a permis de comprendre comment on utilise un patron, comment on pose une fermeture éclair...
Tout n'est pas parfait, loin de là, il y a un vilan pli à l'ourlet (mais à l'intérieur, ouf!), et à l'arrière la couture "ceinture" n'est pas face à face de chaque côté de la fermeture, mais je suis quand même fière de moi!

Et en plus, c'est un tissu spécial dédicace pour moi...avec des souris!!!! (et pourtant ma prof qui m'a sorti le tissu ne connait pas mon blog....)
Robe patronnée en 10 ans, on verra comment ça tombe sur Souricette qui ne porte "que" du 8 ans", et si ça lui plaît! Verdict ce soir ;-)

Et pour ne pas m'arrêter sur une si bonne lancée, j'ai commandé ma machine, vivement qu'elle arrive!

lundi 7 octobre 2013

2 Ans!

2 ans de blog, 2 ans d'échange, de partage, de rencontres!

Un grand merci à vous toutes (tous?) qui passez par ici, pour vos petits mots, vos conseils et vos encouragements, parce que sans vous ce blog ne serait rien!

mardi 1 octobre 2013

6 ans!


Il y a 6 ans, je partais pour la maternité, impatiente de vous tenir enfin dans mes bras,
Il y a 6 ans, vous avez fait de moi une maman, au coeur rempli d'amour,

Aujourd'hui, c'est main dans la main que nous avons fait le trajet pour l'école,
Aujourd'hui, c'est du portail que je vous ai regardés marcher vers la classe, comme des grands,

Mes bébés, et pourtant mes si grands,

JOYEUX ANNIVERSAIRE!

vendredi 27 septembre 2013

Besoin de conseils


Pour celles (et ceux?) qui me suivent, vous l'avez compris, j'ai décidé de me mettre à la couture. Il va donc falloir que je me trouve LA machine à coudre, celle qui me permettra de pouvoir faire des trucs pas trop compliqués au départ, mais avec laquelle je pourrai progresser.

Choisir a toujours été difficile pour moi, et à la maison, les comparatifs d'électroménager ont toujours été faits par Mr Souris.....sauf que les machines à coudre, il s'y connaît encore moins que moi, ce qui n'est pas peu dire. Suite à mon premier cours et aux conseils de ma prof, j'ai commencé à regarder sur le net ce qu'on peut trouver. Et l'offre est large!!!!!!

Du coup, je suis preneuse de tous les conseils, expériences....., histoire de ne pas me tromper (oui, je suis un peu maniaque sur les bords).

Merci d'avance ;-)

mercredi 25 septembre 2013

C'est moi qui l'ai fait!

Ca y est, j'ai eu mon premier cours de couture, finalement, une machine ce n'est pas si compliqué que ça (bon OK, je pense que je ne ferais pas la maligne pour refaire une canette ou à chaque fois qu'il faudra remettre le fil.....), et franchement, ça m'a bien plu!
Et comme la prof est sympa, plutôt que de me faire faire des lignes de points (j'ai quand même commencé par ça pour comprendre comment ça marchait ;-)), j'ai fait un petit sac:



Je vous l'accorde, ce n'est pas compliqué à faire, je suis loin de toutes les superbes réalisations qu'on trouve sur la blogo, mais je dois avouer que je suis fière de moi! Prochaine étape, lecture d'un patron !!!!!


mardi 17 septembre 2013

Se lancer...

Je vous en avais déjà parlé, à force de voir de jolies choses sur les blogs, l'envie de faire "moi toute seule" me titillait de plus en plus. Et puis cette année, quand j'ai cherché des robes pour ma Souricette, et que je n'ai rien trouvé qui me plaise dans mes budgets (parce que pour des tenues qui durent seulement 3 mois au rythme où les enfants grandissent, et qui subissent les assauts de l'école, de la récré et de la cantine, je n'investis pas dans Jacadi - que je trouve craquant - ou autres marques équivalentes....), je me suis dit que si je savais coudre, je pourrais lui faire les modèles que je veux dans les couleurs que je veux (na!).

Avec les encouragements de Fanny et de Flo'p, j'ai décidé de franchir le pas...au moins pour voir si ça me plait. J'ai donc rdv la semaine prochaine pour mon premier "cours" (va quand même falloir que j'apprenne les bases, je ne sais même pas comment fonctionne une machine à coudre), histoire de voir si j'accroche.....et après on verra bien!

Affaire à suivre!

vendredi 13 septembre 2013

P***** de vendredi 13




Je pensais que cette année serait la bonne, qu'on était sortis des maladies, infections, problèmes auditifs, respiratoires...., qu'on serait "au calme" cette année. Mais non, on est reparti, et à cause d'un petit détail pas remarqué cet été, nous voilà repartis dans les visites aux médecins, les examens, le stress.....

Pas de pronostic vital engagé, traitements possibles, même si ça peut être lourd, pas de confirmation avant les examens et le spécialiste, mais encore une fois des angoisses, et mon coeur de mère qui se serre à l'idée que l'un de mes petits n'aura peut-être pas l'enfance qu'on lui souhaitait. Je voudrais avoir le courage de Camille, la foi de Fanny, mais je suis juste révoltée, parce que je voudrais que ça n'arrive pas à mes bébés, à ceux qui sont tout pour moi, et j'ai passé ma journée à pleurer et à tourner en rond, en me demandant pourquoi nous, pourquoi eux!

Ma raison me dit que ce n'est pas grave, ma mère et mon mari ont essayé de me rappeler que tant qu'on ne sait pas ça ne sert à rien d'envisager le pire, et que comme disait mon grand-père, "il n'y a pas de problème, il n'y a que des solutions", mais je n'y arrive pas, je suis débordée par ma colère, mes angoisses....

Demain ça ira mieux, on va faire les tests, et même si je dois "sacrifier" quelques bons moments prévus au boulot, mes enfants passent en premier, parce que je leur ai promis qu'on serait toujours là pour eux, qu'on ferait toujours de notre mieux pour eux, parce que sans eux ma vie serait vide, parce qu'ils sont mes bébés et le seront même quand ils seront grands!

Alors vivement que ce p*%& de vendredi 13 soit derrière nous, qu'on regarde l'avenir avec confiance, en sachant que même si tout n'est pas rose, ensemble on y arrivera!

mercredi 11 septembre 2013

Culpabilité


Nouvelle année scolaire qui débute, changement de rythme avec les devoirs, et comme chaque année depuis que les enfants vont à l'école, je me dis que je suis une mère égoïste puisque je continue à bosser à temps plein: ils vont au centre le matin et le soir, faisant de très grosses journées, c'est la course pour les devoirs (heureusement que pour l'instant c'est réduit...), et même si cette année encore on a quelqu'un qui les garde le mercredi et les emmène au sport (parce que c'est en même temps au même endroit), le fait de travailler les prive d'un certain nombre d'activités parce qu'on ne peut pas les y emmener à part le samedi!
Ne parlons pas de les mettre à la musique, je n'ai clairement pas le temps de leur faire travailler un instrument le soir, et pour l'avoir vécu sans les efforts des parents pour accompagner l'enfant et l'encourager, la pratique s'arrête vite!

J'ai bien pensé à me mettre à 80% cette année, mais dans mon boulot ce n'est pas simple, j'ai déjà du mal à obtenir des projets sympas, alors à temps partiel, fini les responsabilités! Et avec la semaine de 4,5 jours qui s'annonce pour l'an prochain, sans qu'on sache encore à quelle sauce seront mangés les enfants, ce n'était pas forcément le bon moment non plus. Il faut aussi reconnaître que même si c'est parfois lourd, parce que gérer 2 journées en 1 est un sport fatiguant, je ne voudrais pour rien au monde arrêter de travailler, j'ai besoin de cet espace, j'ai besoin de la reconnaissance et du salaire associés, mais je culpabilise de priver de ce fait mes enfants d'une vie plus facile, parce que je ne veux pas renoncer à ma vie....

Résultat des courses, je suis tiraillée, je m'en veux, je ne sais plus très bien où j'en suis ....

Vous faites comment vous?