Vacances de la Toussaint #1

Cette année, on a décidé de prendre quelques jours de congés pour passer la première semaine des vacances de la Toussaint avec les enfants, avant de les envoyer pour une semaine chez leurs grands-parents.

En supermaman ;-), j'avais décidé de les emmener à la Villette (histoire de les cultiver un peu), faire du vélo en famille.... C'était sans compter sur leur état de santé (avec la crise récente du Souriceau inutile de vous dire que je flippe à chaque quinte de toux), le temps (parce que le vélo sous la pluie, c'est pas top), et surtout sur les envies de mes loulous.

Le week-end est passé vite, l'anniversaire d'un copain les a bien occupés, dimanche au calme à la maison, lundi courses de chaussures et de fringues (Souriceau nous a expédié sa paire de chaussures en 2 mois, et c'est un calvaire à chaque fois de leur courir après dans les magasins) et petite virée à la mairie pour leur faire faire des papiers d'identité, et quand on est rentrés à la maison, ils ont voulu jouer. Seuls (!!!!) Enfin ensembles, mais sans nous! Ils le font de plus en plus, c'est génial à voir, ils profitent de leurs jeux, ils se créent des histoires..... Et quand il a fallu aller dîner, drame existentiel: "On n'a pas eu le temps de jouer!!!!!"
Et on a bien compris qu'en fait ils ne voulaient pas bouger pendant les vacances, mais profiter de jouer à la maison, avec et sans nous.

Du coup aujourd'hui, pas de grande balade, mais pour les sortir un peu, on a été à la ferme: on a vu des vaches, le circuit du lait, la bergerie avec des agneaux qui venaient de naître (enfin on l'a déduit de la maman qui les léchait et le cordon ombilical sur bébés et maman :-()). C'est une "vraie" ferme où on a pu se balader librement, mais on n'a pas pu approcher les animaux comme à Gally.

Déjeuner au McDo (bouh, les parents indignes....), parce que comme Souriceau y a déjà mangé 2 fois les jours de rendez-vous médicaux, sa soeur voulait y aller aussi (et faut avouer que de temps en temps, j'aime bien ;-)), et après-midi tranquille à la maison: jeux de l'oie, poupées (même Souriceau habille, lave et nourrit son poupon...avant de commencer à sauter partout dans la salle de jeu....), dessins sur leur tableau (tout neuf)..... Et ils sont ravis! On vaque à nos occupations, on reste à côté d'eux de temps en temps, et ils s'amusent (presque) sans se battre!

Demain, a priori, on va voir les requins et les otaries.....Affaire à suivre!

Et chez vous, les vacances?

Erreur de casting?

Il y a bientôt 35 ans (eh oui), mes parents m'ont choisi avec le plus grand soin un prénom. Contrairement à mes frères pour qui le choix a été plus radical (mon père n'étant pas là pour la naissance du premier, ma mère a tranché seule parmi leur liste finale - et évidemment ce n'était pas celui que voulait mon père, qui a dû coup exigé le droit de choisir le prénom du dernier....), pour moi le choix était unanime (même si la famille a voulu s'assurer que j'avais bien une sainte patronne, et pourtant j'ai un prénom plutôt classique, relativement courant, cf. graphe ci-dessous, mais qui n'est pas Félicie ;-)))

Je n'ai jamais eu de problème avec mon prénom (même si j'ai eu comme tous les enfants le droit à des blagues plus que douteuses et des rimes improbables), je le trouve plutôt joli (ouf) et facile à porter et à retenir.

Un jour, quand j'ai commencé mon boulot, un de mes collègues m'a appelé spontanément Clémence. J'adore ce prénom (j'aurais voulu le donner à ma Souricette si ça avait collé avec notre nom de famille), mais il n'a absolument rien de commun avec le mien. Devant ma surprise, il m'a dit "Tu as une tête à t'appeler Clémence!". Ca m'a amusé, et c'est devenu notre petit clin d'oeil: régulièrement j'entendais "Clémence, arrêter de grolasser (c'est à dire de traîner des pieds, ce que j'ai la mauvaise habitude de faire)" ou "Clémence, arrête de te manger les doigts, tu vas finir comme la Vénus de Milo...sans les bras!"

Puis il est parti à la retraite, et plus personne ne m'a appelé Clémence, jusqu'à cette semaine, où lors d'un débriefing d'exercice en formation, un des participants, que je ne connaissais pas avant la session de septembre, a sorti "Clémence a bien pris la direction des opérations..." Tout le monde s'est regardé (on était 4 filles, et pas de Clémence), et quand j'ai compris que c'est de moi qu'il parlait, j'ai bien ri: je dois bien avoir la tête à m'appeler Clémence! 

Comme la seule Clémence que je connaisse est l'adorable auteur des Trouvailles de Joséphine, je prends ça pour un compliment!!!!!!! Mais je ne sais pas si ça ferait très plaisir à mes parents de savoir que finalement, il ne m'ont peut-être pas choisi le bon prénom ;-)

Coup de massue

Jusqu'au week-end dernier, j'étais plutôt contente de ce début d'année, marqué pour une fois par l'absence de rendez-vous de médecin en urgence, de nuits hachées pour cause de toux, otites....jusqu'à ce fameux week-end, où Souriceau nous a dit "J'ai mal au coeur!", ce qui chez lui signifie "j'ai mal aux poumons.

Petit flash-back pour ceux qui ont oublié: les galères pulmonaires de Souriceau ont commencé en novembre dernier, avec crise respiratoire qu'on avait associé à une (ou des) allergie(s). Cette crise avait été suivie par d'autres, une consultation en urgence d'un allergologue (pour finalement trouver que Souriceau n'est pas allergique!) radio des poumons qui a conclu à une superbe infection pulmonaire!
Janvier, radio de contrôle, RAS, on se dit que c'est bon, mais...au mois de mai, rebelote, nouvelle alerte pulmonaire (au départ on pensait à un simple virus gastro...), nouveau traitement antibio, et recherche en urgence d'un pneumologue pour comprendre pourquoi notre loulou se payait 2 infections pulmonaires en 6 mois!
Je vous passe les détails de la recherche d'un pneumo-pédiatre pour le mois qui suit, et heureusement ma pédiatre nous en a dégotté un qui exerce en tant que pédiatre (et donc pas 6 mois d'attente, ouf!). Diagnostic instantaté: ce ne sont pas 2 infections pulmonaires distinctes, mais une seule qui récidive, liée à une saleté nommée "Mycloplasma Pneumoniae". Traitement simple, antibios à haute dose, et c'est bon.

Revenons à nos moutons: week-end dernier, Souriceau a mal au coeur, l'angoisse monte (chez moi). Puis je pars en formation, Mr Souris me dit que tout va bien. Hier soir, je récupère mon loulou tout blafard, et toussant comme un crevé. Il ne dine pas, n'a pas la pèche, et après une nuit un peu agitée, on décide de prendre nos précautions et de vérifier avant le symptômes sévères qu'il n'a pas une nouvelle infection pulmonaire! J'arrive à extorquer à la secrétaire médicale un rendez-vous dans une journée complètement pleine, et après un peu d'attente, j'entre la fleur au fusil dans le cabinet du médecin, en lui expliquant que je crains une nouvelle infection. Mon Souriceau monte sur la table d'examen, et là, premier coup de massue: "Ce n'est pas une infection, il fait une énorme crise d'asthme, c'est flagrant!" On ne savait même pas qu'il était asthmatique, on était à mille lieux de penser à ça.... Du coup, vérification de la saturation en oxygène, et là, deuxième coup de massue: "C'est bon, c'est normal.....ah non, en fait ce n'est pas normal du tout, c'est même inquiétant....." Saturation à 86 (norme: 97-98), et après avoir fait prendre de la ventoline à haute dose à mon fils, et vérifié que ça remonte péniblement à 94, le médecin m'explique qu'à moins de 94 il aurait dû hospitaliser mon loulou, et que le risque d'une crise comme ça est l'étouffement.....
Sur le coup, je n'ai pas trop réalisé, mais en sortant j'ai pris de plein fouet l'info, et réalisé qu'on a évité de peu la catastrophe.....

Autant vous dire que je n'ai pas passé une très bonne après-midi, et que j'attends que le médecin me rappelle parce que maintenant j'ai plein de questions à lui poser pour savoir si tout va bien et si on fait bien tout ce qu'il faut pour régler le problème!!!!!

Dire que ce soir c'est les vacances ;-) Bonnes vacances à tous ceux qui en prennent!

Lectures variées

Ces derniers temps, pas trop de conseils de lecture, pourtant je continue à lire, mais beaucoup de romans policiers ou de romans "faciles". J'ai d'autant plus de mal à trouver des livres sympas qu'à la bibliothèque soit les livres conseillés sont déjà empruntés, soit ils ne les ont pas.

Cela dit, sur les conseils de Prune et de Sophie, j'ai enfin pu lire "La délicatesse" de David Foenkinos. J'avais déjà beaucoup aimé "Les coeurs autonomes", du même auteur, et j'ai énormément apprécié cette deuxième incursion dans l'écriture de Foenkinos.

Il passait par là, elle l'avait embrassé sans réfléchir.
Maintenant, elle se demande si elle a bien fait.
C'est l'histoire d'une femme qui va être surprise par un homme.
Réellement surprise.

J'ai aimé cette façon de décrire la rencontre fortuite de 2 êtres, leur bonheur tranquille et cette vie qui bascule en une minute, et le réapprentissage de la confiance dans l'autre et dans la vie. Moments de poésie, touches d'humour, l'auteur parle de moments graves sans gravité, et on suit avec plaisir ces personnages attachants jusqu'à la dernière page.

Dans un autre style, et sur les conseils d'un de mes collègues, j'ai  dévoré "Replay" de Ken Grimwood.

En ce 18 octobre 1988, Jeff Winston se trouve dans son bureau new-yorkais, et écoute sa femme lui répéter au téléphone : " Il nous faut, il nous faut..." Il leur faudrait, bien sûr, un enfant, une maison plus confortable. Mais surtout parler. A coeur ouvert. Sur ce, Jeff meurt d'une crise cardiaque. Il se réveille en 1963, à l'âge de dix-huit ans, dans son ancienne chambre d'université. Va-t-il connaître le même avenir ? Non, car ses souvenirs sont intacts. Il sait qui va gagner le prochain Derby, et ce qu'il en sera D'IBM et d'Apple...
De quoi devenir l'homme le plus puissant du monde, jusqu'à... sa deuxième mort, et qu'une troisième, puis une quatrième vie commencent...

On se retrouve plongé avec Jeff Winston dans l'enchaînement de ses vies, dans ses choix et leurs conséquences, avec une seule envie: savoir comment ça va finir!

Et comme on dit, jamais 2 sans 3, dernier conseil du jour: "Et Nietzsche a pleuré" de Irvin Yalom.

Venise, 1882. La belle et impétueuse Lou Salomé somme le Dr Breuer de rencontrer Friedrich Nietzsche. Encore inconnu du grand public, le philosophe traverse une crise profonde due à ses relations orageuses avec Lou Salomé et à l’échec de leur ménage à trois avec Paul Rée. Friedrich Nietzsche ou le désespoir d’un philosophe. Le Dr Breuer, l’un des fondateurs de la psychanalyse. Un pacte secret, orchestré par Lou Salomé, sous le regard du jeune Sigmund Freud. Tout est là pour une magistrale partie d’échecs entre un patient extraordinaire et son talentueux médecin. Mais qui est le maître ? Qui est l’élève ? Qui soigne qui ? Et c’est à une nouvelle naissance de la psychanalyse, intense, drôle et machiavélique, que nous convie Irvin Yalom. Un roman à découvrir absolument.

Ce livre était en évidence depuis longtemps à la bibliothèque, mais je dois avouer que le résumé de n'avait pas enthousiasmé (je ne suis pas une fanatique des romans "historiques"). J'ai fini par l'emprunter après avoir lu une bonne critique sur un blog (oups, j'ai oublié lequel), et je ne l'ai pas regretté!
Philosophie, psychanalyse, ce roman nous fait oublier que ce n'est qu'une histoire, tellement ça aurait pu être vrai, l'écriture fluide de Yalom rend les théories de Nietzsche abordables et on se délecte de ces échanges où l'on ne sait plus qui est le patient et qui est le médecin.

Et vous, des conseils?

To be or not to be?

La question qui hante tous les parents avant la première rentrée en maternelle: mon enfant sera t'il propre à temps?

Comme beaucoup d'autres, chez nous aussi le sujet a été critique: si Souricette est devenue propre jour/nuit vers 2 ans, sans qu'on y prenne garde, pour son frère ce fut plus complexe. Pour la journée, on n'a pas eu de souci, mais la sieste (et la nuit....) étaient encore au moment de la rentrée plus qu'aléatoires. Autant vous dire que je n'étais pas sereine, surtout que je me voyais mal devoir gérer un enfant à la maison l'après-midi et l'autre à l'école (sans compter qu'on n'avait pas prévu de solution de repli si le problème persistait, c'est beau la méthode Coué).

La première semaine à l'école s'est bien passée, mais ensuite on a joué à quitte ou double tous les jours, jusqu'à la convocation par la maîtresse, et l'ultimatum: "On garde votre fils jusqu'aux vacances, et si à ce moment là le problème n'est pas réglé, vous devrez le garder l'après-midi." Heureusement que cette même maîtresse était adorable, et qu'elle a trouvé une solution pour ne pas mettre notre loulou en situation périlleuse: ayant constaté que si il faisait des siestes courtes (moins d'1 heure), il n'y avait pas de souci, elle a pris le parti de le réveiller au bout de ce laps de temps, évitant les accidents, et elle a ainsi permis que Souriceau ne soit pas renvoyé à la maison.

Les grandes vacances sont arrivées, les siestes ont disparu, y compris à l'école (ouf!), mais les (rares) siestes effectuées au cours de cette nouvelle année ont été aussi aléatoires que les précédentes.

On a décidé de ne pas mettre la pression, que ça viendrait avec le temps.... mais si pendant les rares siestes de cet été tout s'est bien passé, la nuit on en est toujours à la case départ!
On a essayé de lui proposer de lui enlever sa couche dès 2 nuits avec la couche sèche (dans les périodes d'orgueil où il veut faire comme sa soeur et virer la couche), on a essayé de le faire dormir sans couche (toujours à sa demande), mais rien à faire. Et si pour l'instant on n'est pas confrontés au problème d'aller dormir chez un copain, ou de partir en classe verte, c'est quand même dur pour lui (l'avance de sa soeur le perturbe), et pour nous (parce qu'en plus régulièrement les couches fuient, et que je peux m'estimer heureuse quand je n'ai que le pyjama à laver....). Le problème, c'est que bien qu'il dise vouloir enlever la couche, il répète sans arrêt qu'il n'y arrivera pas, que ce n'est pas sa faute, que ça vient tout seul, qu'il dort trop profondément....et que tant qu'il n'y croira pas, je ne pense pas qu'il puisse y arriver!

Je ne sais pas comment l'aider, à partir de quel âge il faut vraiment s'inquiéter, alors si vous avez des suggestions, n'hésitez pas!

Birthday Party

Pour la première fois (au bout de 5 ans ...) on a fêté l'anniversaire des Souriceaux avec leurs copains. Je vous avais parlé des préparatifs avec le choix des thèmes (devinez qui a choisi quoi ;-)!) et le choix des copains, mais finalement c'était la partie "facile" de l'affaire!

Première étape: on a lancé les invitations (assez très en avance, histoire de gérer le nombre de réponses positives pour chacun). Comme les enfants ne connaissent pas tous les noms de famille de leurs copains, on avait juste les prénoms, et les enfants étaient chargés de distribuer à qui de droit les précieuses enveloppes (puisqu'en parents indignes on n'est jamais ni le matin ni le soir à l'école....). Du coup aucun moyen de savoir si elles avaient bien été remises, hormis la parole des Souriceaux (pas encore toujours fiable....)

Deuxième étape: l'attente des réponses. Avec mes vieilles angoisses de petite fille timide sans trop de coapins, j'avoue, j'ai eu peur que personne ne veuille venir... Mais mes enfants sont bien dans leurs baskets, et on a eu 4 réponses positives (sur 4) pour Souriceau, et 3 pour Souricette. Comme on avait prévu le coup, on avait des invitations en  rab, et elle a pu relancer (2 fois) sa dernière invitation. Au final, 4 invités par personne, ouf!!!!!

Troisième étape: préparer la fête. J'ai cherché des idées de jeux pour l'intérieur, pour l'extérieur, on a mangé beaucoup de haricots verts pour avoir des boîtes pour le chamboul'tout (au moins les Souriceaux en mangeaient sans se plaindre, puisque c'était pour la bonne cause), j'ai imprimé des clowns géants et découpé des nez en carton, on a trouvé des petits cadeaux à gagner pour la pèche au canard, on a vidé la salle de jeux en ne laissant que quelques jeux "stratégiques (Kapla, petites voitures, dinette et dessin), histoire qu'à la fin de la journée on n'est pas des drames pour des jouets cassés et un bazar monstrueux à ranger!

Enfin, le jour J: préparation de 3 gâteaux (2 en chocolat pour les bougies, et un "nature" au cas où un des enfants n'aimerait pas le chocolat), gonflage de ballons, installation de la table du gouter, préparation des jeux (oups, la piscine pour la pèche est trouée.....), il a fallu gérer l'impatience des Souriceaux qui trépignaient après le déjeuner......et ça a été le débarquement! Au total 5 garçons et 5 filles à gérer, mais heureusement le temps était avec nous, ils ont joué au trampoline, à la balançoire, un peu au chamboultout et à la pèche au canard, aux petites voitures, au tennis, au ballon, les filles ont fait des dessins, ils ont fait des allers-retours entre la salle de jeux et le jardin, on un peu gôuter (il me reste 2 gâteaux entiers sur les bras!!!), mangé beaucoup de bonbons....et éclaté tous les ballons qu'on avait gonflé avec amour ;-).
J'ai adoré, une des petites filles avait le numéro de téléphone de sa mère écrit sur le bras "au cas où elle s'ennuierait!".

Finalement, à part quelques colères de Souriceau qui a beaucoup de mal à comprendre qu'il faut partager, et que quand on invite des copains c'est pour jouer avec eux, tout s'est bien passé. Les enfants ont bien respecté leur tour au trampoline (où ils ne pouvaient aller que 2 par 2), ils se sont tous bien amusés et sont tous repartis contents (ouf!!!!)
Rangement rapide (merci les assiettes en carton et verrres en plastique), mais on a apprécié le calme après la tempête (c'est fou ce que ça fait du bruit 10 enfants), et béni le temps qui nous a permis de les faire jouer dehors!

Commentaire de Souricette : "Dommage qu'on n'ait qu'un anniversaire par an!" (pour moi c'est heureusement que ce n'est qu'un par an!!!!!!)

Déjà 1 an!

Eh oui, un an déjà que j'ai fait le grand saut, un an à partager des petits bouts de moi, de ma vie, de mes bonheurs et de mes coups durs.

Un grand merci à vous toutes (tous) qui me lisez, un grand merci pour vos commentaires et vos encouragements, et on est repartis pour un an!!!

5 ans!

Happy five mes amours!!!